Qui suis-je ?

En bref, et en moins bref
En bref

Je m'appelle Ulysse Lubin.

Je relève 100 challenges à travers le monde pour dépasser mes barrières mentales.

En chemin, je documente mes aventures sur YouTube, mon blog, et les réseaux sociaux (LinkedIn, TikTok & Instagram).

Ulysse Lubin dans le désert
Quelque part dans le désert
Une philosophie
  • Le nihilisme optimiste : regarder un monde dépourvu de sens et voir l'opportunité de créer le sien.
Une pratique
  • Le minimalisme : aimer les gens, utiliser les objets, et non l’inverse.
Un mantra
  • Du Jeet Kune Do : Absorbe ce qui est utile, rejette ce qui ne l’est pas, ajoute ce qui t’est propre.
Mes 3 valeurs fondamentales
  • La liberté : être libre de & libéré de.
  • La curiosité : questionner l'évidence et rester ouvert.
  • L'authenticité : jouer son propre jeu et ne pas tricher.
Mes 4 grandes inspirations
  • Miyamoto Musashi : pour sa discipline.
  • Naval Ravikant : pour sa sagesse.
  • Mike Horn : pour ses exploits.
  • Bruce Lee : pour son flow.
En moins bref

Je n'ai jamais été doué pour me conformer.

Je suis né dans le sud-est de la France, d'une mère médecin et d'un père artiste peintre. Elle, cartésienne, m'a élevé. Lui, spirituel, m'a intrigué.

Ulysse Lubin enfant
Vers 1997

Enfant, j'étais passionné par l'espace. Lorsque je n'étais pas perdu dans mes pensées, j'avais le nez dans le livre Guiness des records. Aussi loin que je me souvienne, les gens qui sortent de l'ordinaire m'ont toujours fasciné.

Je cherchais déjà à collectionner les expériences. J'ai essayé toutes les activités de mon village natal : judo, tennis, football, équitation, ping-pong, BMX, piano, guitare, échecs...

Ulysse Lubin et sa mère
Avec ma maman

Au collège et au lycée, je n'étais pas très populaire. J'avais sauté une classe et la puberté à pris son temps pour arriver.

Quand on me demandait ce que je voulais faire de ma vie, je répondais astronaute. Comme je n'avais pas d'autre plan, je suis allé en prépa.

C'était une période difficile. Je ne comprenais pas pourquoi je devais autant travailler. J'ai craqué. Quelques mois avant les concours, je suis parti chez un ami qui était en train de rater médecine. Au lieu de réviser, on jouait aux jeux vidéos et on buvait des bières.

Je suis quand même allé aux concours. Par un hold up que je n'explique toujours pas, j'ai été admis dans une grande école d'ingénieurs. J'y ai passé trois superbes années. Si je n'ai pas retenu grand-chose, j'y ai créé de belles amitiés.

Pour financer mes études et un brevet en parachutisme, j'ai passé le BAFA. C'était une bonne décision. L'animation aura été une belle école de la vie.

Ulysse Lubin saute en parachute
Solide sur les appuis

Je suis devenu ingénieur en photonique à 22 ans. Le hic, c'est que je n'avais aucune envie de travailler dans ce domaine. Je ne savais toujours pas ce que je voulais faire. Et dire que l'on met la pression à des enfants pour répondre à cette question...

L'entrepreneuriat m'attirait. J'ai participé à de nombreux événements de création de projets pour la NASA, l'ESA ou encore le CNES. J'ai eu la chance d'y rencontrer des astronautes comme Michel Tognini, Jean Jacques Favier ou Claudie Haigneré. En posant les yeux sur eux, je rêvais de nouveau comme un gamin.

C'est là qu'un ami m'a proposé de l'accompagner sur un concours de création de start-up. On l'a remporté. Comme le salariat ne nous tentait pas, on s'est lancé. Et deux ans plus tard, on s'est bien planté.

Ulysse Lubin et Romain Guiot-Samson
Avec mon associé de l'époque (à droite)

La chute était difficile mais j'ai beaucoup appris sur moi.

À 25 ans, j'ai commencé à me poser des questions et à y répondre honnêtement. Je suis entré dans une crise identitaire. Je ne me sentais pas ingénieur. J'étais un entrepreneur orphelin d'un projet.

Pour réfléchir, je suis parti seul en Amérique du Sud pendant deux mois, en sac à dos (voir le vlog).

Au Pérou, pendant de longues heures de colectivo, j'ai griffonné trois notes.

Dans la première, j'ai répertorié toutes les erreurs commises dans ma première entreprise.

Dans la seconde, j'ai listé les métiers qui m'attiraient, comme astronaute, agent secret, grand reporter ou encore voix off.

La troisième note, c'était ma première bucket list. Elle comportait des idées d'expériences à vivre et à documenter.

Ulysse Lubin au Pérou
Vinicunca - à 5200m

En revenant en France, j'ai commencé à prendre la parole sur internet. Très vite, j'ai eu des sollicitations (jusqu'à 45 offres d'emploi en une semaine).

J'ai accepté un job à Paris dans une startup sélectionnée par le Y Combinator. Je pensais avoir besoin d'argent. J'ai commis l'erreur d'adapter mon mode de vie à mon travail, plutôt que de faire l'inverse.

J'ai tenu 9 mois dans le salariat, 9 mois de trop à travailler sur le rêve d'autres personnes.

Lors d'un voyage au Kirghizistan, j'ai sérieusement questionné la vie que je voulais vraiment vivre.

Ulysse Lubin au Kirghizistan
Au dessus du lac Ala-Kul - à 3900m

À Paris, je n'étais pas à ma place. Je ne faisais pas quelque chose d'important, ni pour moi, ni pour les autres.

Mon cœur me criait de partir explorer, d'apprendre chaque jour et de me libérer de mes barrières mentales.

Il me fallait un cap.

10, ce n'était pas assez.
1000, c'était trop.

C'était décidé, j'allais relever 100 challenges à travers le monde.

Ulysse Lubin dans la jungle
Départ pour une semaine de survie dans la jungle au Costa Rica

On m'a souvent catalogué comme étant quelqu'un d'instable. Je ne pense pas l'être, au contraire. Je suis simplement animé par cette curiosité qui me pousse à expérimenter ce que la vie peut nous offrir.

Mon objectif n'est pas d'être heureux. Je cherche à expérimenter toutes les émotions possibles, avec intensité.

Je ne cherche pas à exister longtemps.
Je veux vivre largement.

Aujourd'hui, je suis fier de me présenter comme un explorateur.

D’ailleurs, je rêve toujours de devenir astronaute.

Ulysse Lubin en apnée
À la découverte d'une épave en apnée

Pour suivre la suite de cette aventure, rendez-vous sur mon blog !